/ 206
14. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Les mœurs ne regardent point l’époux des demoiselles Béjart. […] Les courtisans se regardaient sans oser s’adresser la parole. […] Cléante nous dit bien : Regardez Ariston, regardez Périandre, Oronte, Alcidamas, Polydore, Clitandre. […] Nous avons entendu Bossuet pour ce qui regarde la comédie en général. […] Regardez Ariston, regardez Périandre...

15. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380

Dupuis, déconcerté, est obligé de convenir qu’il ne veut pas marier sa fille : il a cependant une grande amitié pour Desronais : il lui offre sa table : il lui prête de l’argent pour acheter une charge, & pour calmer une fille à laquelle il a fait un enfant ; il le regarde enfin comme son gendre : mais ce n’est qu’à son dernier moment qu’il veut l’unir à sa fille. […] Peggy ne peut se consoler après avoir perdu la fleur d’innocence que Richard estimoit tant, & qu’il regarde comme la plus grande beauté du sexe. Richard arrive, se tient quelque temps sur la porte sans rien dire, regarde son amante : elle pleure, & s’excuse sur les fourberies du Lord. […] Vous en faites trop pour moi, Sire ; mais si Votre Majesté le juge à propos, faites passer le contrat à ce jeune homme qui a bien plus souffert que moi : puisse-t-il regarder ce présent comme une légere satisfaction des torts que j’ai eus vis-à-vis de lui ! […] La Dame regarde le Comte comme un monstre, surtout lorsqu’il la menace de publier son aventure & de montrer sa lettre, si elle ne consent au mariage du Chevalier avec Sophie.

/ 206