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150. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Il n’a pas le temps de reconnaître sous le costume du cavalier done Ignés, l’amie de done Elvire, et il éclate en reproches insultants. […] De sûrs indices font bientôt reconnaître si le succès est de bon aloi, et les succès que l’on n’ose pas avouer ne durent pas longtemps.     […] C’est un préjugé commun que de prendre pour l’action le démêlement de l’intrigue, et de ne reconnaître le drame que dans les pièces où se complique l’imbroglio des faits. […] Le duc de La Rochefoucauld a reconnu la vanité des vertus dont le faux éclat avait pu éblouir sa jeunesse ; il ne croit plus qu’aux déguisements du vice et aux travestissements de l’égoïsme. […] Voltaire n’a-t-il pas dit que l’on reconnaît les beaux vers à ce qu’ils deviennent traduits en prose.

151. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351

Conclusion Nous venons de reconnaître toute une tradition comique qui précède immédiatement Molière et qui lui arrive de première main.

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