On le conjure de dépêcher bien vite son démon en France, pour en rapporter des nouvelles. […] Regnard rapporte les dernières paroles de Boileau, adressées à ses vers : « O vous, mes tristes vers, noble objet de l’envie, Vous dont j’attends l’honneur d’une seconde vie!
Sa scene est trop longue, trop ennuyeuse ; & en conscience je ne puis pas la rapporter.