Il sert, sous ce déguisement, les amours de Lucrece & de son maître ; mais à peine a-t-il quitté son ajustement, qu’il rencontre Fernand. […] Je le viens de quitter ; il est fort mon ami.
Bélise, qui ne pouvoit plus retenir les siennes, lui dit de l’air du monde le plus affligé : Vous me quittez bien gaiement, Lindor ! […] Finissez, lui dis-je, ou je quitte la place. — Hé quoi !