/ 105
80. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

Molière seul l’avait deviné lorsqu’il disait, à travers les railleries dont Racine et Boileau harcelaient impitoyablement le naïf et malin Champenois, plus âgé qu’eux et moins impatient de briller : « Laissez dire nos beaux esprits, ils n’effaceront pas le bonhomme. » À ce moment ses fables n’avaient pas encore paru, et lorsqu’elles furent publiées, ni Boileau ni Racine ne soupçonnèrent qu’elles leur donnaient un rival.

81. (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492

Quant au directeur, comme il n’avait pas fait la moindre mention du défunt, on ne vit aucun inconvénient à publier sa réponse ; et elle nous a été conservée. […] Quoi qu’il en soit, cette édition de 1674 fut reproduite plusieurs fois à l’étranger ; elle le fut même à Paris, en 1675, par les mêmes libraires, Thierry et Barbin, qui, sept ans plus tard, en 1682, publièrent l’édition des Œuvres de Molière, donnée par La Grange et Vinot.

/ 105