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52. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

Les feuillets contenant les notes manuscrites furent reliés dans l’édition publiée en 1814 chez Nicolle, en 6 volumes in-S annotés par Petitot. […] Les pièces dont nous publions les notes se trouvent dans les volumes suivants : IV. […] Louis Crozet, de Grenoble, ingénieur en chef des ponts et chaussées du département de l’Isère, différens volumes de manuscrits, des chroniques italiennes et un de mémoires sur Napoléon, qui portait pour titre ; Vie de César, sous la condition de n’avoir à les publier que dix ans après sa mort. […] Crozet, en m’en accusant réception, me disait qu’il allait les mettre en ordre, pour les publier à l’époque indiquée. Le fait est que, jusqu’à présent, ils n’ont pas été publiés, bien qu’ils auraient pu l’être en 52, Stendhal étant mort le 23 mars 42.

53. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30

« Les comédiens, disait Niccolo Barbieri, étudient beaucoup et se munissent la mémoire d’une grande provision de choses : sentences, concetti, déclarations d’amour, reproches, désespoirs et délires, afin de les avoir tout prêts à l’occasion, et leurs études sont en rapport avec les mœurs et les habitudes des personnages qu’ils représentent4. » Ainsi, l’on verra l’un des capitans les plus renommés, Francesco Andreini, publier ses Bravure, ses bravacheries, divisées en plusieurs discours.

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