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134. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Les femmes qui ont de la beauté montent déjà dans l’Olympe idéal quand elles montent sur la scène ; le public enthousiasmé leur porte son amour comme son argent. […] Molière n’avait pas le temps de pleurer ; du moins il fallait qu’il prit ses heures pour cela ; non seulement le public attendait, mais la maison de Molière avait faim. […] « Les deux directeurs ne s’associèrent point ; ils restèrent concurrents, cherchant à s’arracher le public. […] Le sentiment du devoir lui disait que le prince par excellence était le public. […] Ô misère de cet état du comédien qui appartient à la curiosité publique morne par-delà la tombe !

135. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [14, p. 44-45] »

On le dit par extension de toute satire, raillerie ou bon mot qu’on dit contre le public et contre les Puissances, quoi qu’on ne les ait point attachées au Pasquin, et qu’on les ait seulement fait courir dans le monde.

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