Comédie en prose, en trois actes, de Regnard.
II faut que chacun vive ; et puisque Marivaux, Monsieur Lanoue, enfin, mes illustres rivaux, Vous nourrissent si bien de leurs vers, de leur prose, De madrigaux glacés, de fadeurs à la rose, De petits riens sucrés et de pavot confit, Vous aimez le repos, tout cela vous suffit.