Le temps où parut Le Misanthrope était, à coup sûr, celui de la politesse et de l’élégance ; la cour où l’on s’exprimait avec cette pureté de langage était l’asile de l’esprit et des grâces ; le pays qui produisait de pareils chefs-d’œuvre était parvenu à un haut degré de gloire et de civilisation.
Trois ou quatre imitations françaises s’étaient produites dans l’intervalle et n’avaient pas été certainement sans modifier le canevas italien.