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145. (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466

 » Cette peinture naïve et sans art porte en elle-même la meilleure des garanties : elle est vraie, car il est impossible qu’elle ne le soit pas. […] Presque tout, dans Le Bourgeois gentilhomme, porte l’empreinte d’une grande précipitation.

146. (1871) Molière

Heureux, dans la paix, et dans la guerre, et dans tous les beaux-arts, celui qui porte un nom facile à retenir, facile à prononcer ! […] Jamais rien de plus gai : cette comtesse d’Escarbagnas ouvrait la porte à toutes ces femmes de licence et de plaisir, bêles et viles, qui remplissent le théâtre du dix-neuvième siècle.

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