» Cette peinture naïve et sans art porte en elle-même la meilleure des garanties : elle est vraie, car il est impossible qu’elle ne le soit pas. […] Presque tout, dans Le Bourgeois gentilhomme, porte l’empreinte d’une grande précipitation.
Heureux, dans la paix, et dans la guerre, et dans tous les beaux-arts, celui qui porte un nom facile à retenir, facile à prononcer ! […] Jamais rien de plus gai : cette comtesse d’Escarbagnas ouvrait la porte à toutes ces femmes de licence et de plaisir, bêles et viles, qui remplissent le théâtre du dix-neuvième siècle.