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124. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

L’abbé Roquette, jeté par la fenêtre de la chambre, était homme à rentrer par la porte de la chapelle, et c’est ce qui semble être arrivé. […] Pendant qu’on jouait encore sa pièce chez Molière, il la fit répéter en cachette à l’Hôtel de Bourgogne, si bien qu’un matin on la vit affichée à la porte des deux théâtres. […] Une fois rentré à la cour, dont cette main aimable lui rouvrait la porte, Molière n’en sortit plus. […] Sur ce refus, Louis XIV ordonne de mettre le feu à la porte. Aussitôt la livrée va cher » chez des fagots chez le premier fruitier ; on les dresse contre la porte, on les allume avec des flambeaux.

125. (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125

On ajoute une autre comédie qui porte le titre du Festin de Pierre ; mais elle ne paraît plus au monde, du moins n’a-t-elle pas été mise dans le Recueil des autres : de sorte qu’elle doit passer pour une pièce supprimée, dont la mémoire ne subsiste plus que par les observations qu’on a faites contre cette pièce et celle du Tartuffe.

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