/ 212
117. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

S’il la rencontre, il la reconnaît d’abord et se porte vers elle de toute la puissance de son âme ; le charme qui l’attire et le bonheur qu’il éprouve, c’est le sentiment et la joie de l’amour. […] « Qui est, s’écrie-t-il, ce sot-là qui ne veut pas que sa femme soit muette33. » Sganarelle s’en fait une autre idée ; « j’entends », dit-il, … J’entends que la mienne Vive à ma fantaisie et non pas à la sienne ; Que d’une serge honnête elle ait son vêtement, Et ne porte le noir qu’aux bons jours seulement ; Qu’enfermée au logis en personne bien sage Elle s’applique toute aux choses du ménage, À recoudre mon linge aux heures de loisir, Ou bien à tricoter quelques bas, par plaisir. […] Elle estime ce qu’il y a de noble et d’héroïque dans ce caractère, et ne cache point le penchant qui la porte vers Alceste.

118. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351

Porte cela à ta maîtresse.

/ 212