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147. (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160

La scène septième, où le poète, le marquis et la prude font leurs remarques sur l’École des femmes, est pleine de vérité et de comique. […] La scène troisième du deuxième acte, entre le marquis et le poète sur Homère et Virgile ; la sixième du troisième acte, entre le marquis et Dorante, est la même que celle du Joueur de Regnard, où le Joueur se laisse mal mener et veut ensuite le faire dégainer.

148. (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466

Pour les poètes dramatiques surtout, ce dommage est considérable : avant que nous allions au théâtre, la connaissance forcée que nous en avons faite au collège nous a dégoûtés de la meilleure part de leurs productions. […] se récrie quelqu’un, c’est l’œuvre commune de Corneille et de Molière : il faut donc que ce soit un chef-d’œuvre renforcé. — Mais comment ces deux poètes y ont-ils mis la main ?

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