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121. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

Un homme qui se sent faible, qui sait ce que sa vertu lui coûte et de quelles imperfections il est encore plein, songe moins à pester contre les autres qu’à les plaindre, à les aider, à les relever. […] Orgon s’en plaint : Pour mon fripon de fils je sais vos complaisances.

122. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Son père, qui s’appelait aussi Jean et qui fut aussi tapissier, était né, un an après le mariage, c’est-à-dire en 1503, et s’était marié à vingt-six ans, le 27 avril 1621, sans qu’on eût, cette fois, à se plaindre d’une mésalliance. […] Le poète se plaint d’une cruelle et lui dit : Au penchant qui nous engage, Pourquoi vouloir résister ? […] Et qui donc, reconnaissant le vol, aurait eu le courage de s’en plaindre ? […] C’est à l’époque où il était déjà évêque d’Autun ; il se plaignait, devant ce magistrat, de ce que les officiers en garnison dans sa ville épiscopale avaient quitté son sermon pour aller à la Comédie : « Oh ! […] Bazin, le 5 février 1669, qu’il reprit sa liberté, « comme tacitement compris dans la paix de Clément IX. » Il fut joué, il fut imprimé, et les seules personnes qui s’en plaignirent furent les faux dévots, et aussi, qui le croirait ?

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