Nos libres penseurs n’en ont pas été moins fiers du triomphe obtenu par Molière, chez ce peuple délicat qui apprend le français principalement pour lire Paul de Kock dans l’original. […] Tous les peuples chrétiens, et en particulier la France, lui doivent quelques-uns des grands et suprêmes monuments de leur littérature. […] On voyait encore « une manière de retenue dans le penchant qu’il suivait et mime dans ses paroles. »Il se refusait à son devoir, il ne l’avait pas oublié ; il savait qu’il devait quelque chose à Dieu et à son peuple, et qu’il ne pouvait sagement et utilement gouverner son peuple qu’en obéissant à Dieu. […] Ce sont les chrétiens que tous les ennemis de l’Église supportent, qui laissent tout dire contre la loi de Dieu, tout faire contre la foi des peuples. […] Les Pères de l’Église auraient-ils préservé les peuples fidèles de tant d’erreurs qu’ils ont détruites et de tant d’hérésies qu’ils ont hautement combattues ?
Dans le Bourgeois gentilhomme, le Pourceaugnac, les Fourberies de Scapin, & les autres de cette nature, il a trop donné au gout du peuple, pour les situations & les pointes bouffonnes.