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56. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Nos libres penseurs n’en ont pas été moins fiers du triomphe obtenu par Molière, chez ce peuple délicat qui apprend le français principalement pour lire Paul de Kock dans l’original. […] Tous les peuples chrétiens, et en particulier la France, lui doivent quelques-uns des grands et suprêmes monuments de leur littérature. […] On voyait encore « une manière de retenue dans le penchant qu’il suivait et mime dans ses paroles. »Il se refusait à son devoir, il ne l’avait pas oublié ; il savait qu’il devait quelque chose à Dieu et à son peuple, et qu’il ne pouvait sagement et utilement gouverner son peuple qu’en obéissant à Dieu. […] Ce sont les chrétiens que tous les ennemis de l’Église supportent, qui laissent tout dire contre la loi de Dieu, tout faire contre la foi des peuples. […] Les Pères de l’Église auraient-ils préservé les peuples fidèles de tant d’erreurs qu’ils ont détruites et de tant d’hérésies qu’ils ont hautement combattues ?

57. (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605

Dans le Bourgeois gentilhomme, le Pourceaugnac, les Fourberies de Scapin, & les autres de cette nature, il a trop donné au gout du peuple, pour les situations & les pointes bouffonnes.

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