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197. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Mais j’eus le chagrin de voir qu’une personne sans grande beauté, qui doit le peu d’esprit qu’on lui trouve à l’éducation que je lui ai donnée, détruisit en un instant toute ma philosophie. […] C’est ainsi qu’un amant dont l’ardeur est extrême Aime jusqu’aux défauts des personnes qu’il aime. […] Il a beau dire : l’art est sacré; il a peur que personne n’y touche. […] C’est pourtant une charmante personne qu’Henriette. […] Je m’explique, madame; et je hais seulement La science et l’esprit qui gâtent les personnes.

198. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [75, p. 114-115] »

Il n’y avait personne, quelque attention qu’il eût, qui pût y répondre.

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