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167. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203

ce penser me tue, J’aimerois bien autant boire de la ciguë : Un œil crevé, mon Dieu ! […] La plupart des Auteurs, oubliant que la diction n’est faite simplement que pour expliquer l’action, pensent au contraire que cette derniere partie, si essentielle & la plus nécessaire sans contredit, est tout-à-fait subordonnée à la premiere.

168. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396

Harpagon demande à son fils ce qu’il pense de Mariane, de ses charmes, de sa physionomie, de son air, de ses manieres : le fils croit qu’on veut la lui donner en mariage, il en est enchanté : il se trouve ensuite que le vieillard veut l’épouser. […] Il lui demande ce qu’il pense de sa future ; Cléante feint de n’en être pas émerveillé. […] Que pensez-vous de nos actions ?

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