/ 232
140. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462

  Il n’est pas nécessaire, je pense, de marquer les changements légers que Boisrobert a faits ; le lecteur les apperçoit assez. […] Ils pensent prouver la pauvreté de notre langue, en disant que nous n’avons pas de terme pour rendre la signification de ce mot : on leur a souvent répondu que nous n’avions pas besoin de nommer ce qui n’existoit point dans notre pays.

141. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165

Si la nature y manque, c’est l’École des Maris ou l’École des Femmes 522 ; — si la raison, c’est « le beau mariage de la jeune Dorimène, fille du seigneur Alcantor, avec le seigneur Sganarelle, qui n’a que cinquante-trois ans… 0 le beau mariage, qui doit être heureux, car il donne de la joie à tout le monde, et fait rire tous ceux à qui on en parle523 ; » — si l’amour Savez-vous bien qu’on risque un peu plus qu’on ne pense À vouloir sur un cœur user de violence ; Qu’il ne fait pas bien sûr, à vous le trancher net, D’épouser une fille en dépit qu’elle en ait ; Et qu’elle peut aller, en se voyant contraindre, À des ressentiments que le mari doit craindre524 ? […] VI). » Après la lecture du précédent chapitre et de celui-ci, je pense qu’il est évident que cela ne peut concerner Molière, excepté pour les points indiqués plus loin au chapitre IX.

/ 232