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134. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

A la bonne heure ; chacun a sa façon de penser. […] Tu n’y penses pas : l’habit avec lequel je suis venu est cousu de fil ; mais pour moi je ne sais ce que c’est que de coudre des tromperies. […] Nous devons, je pense, trouver beaucoup d’art dans ce dernier couplet, dont l’idée n’est ni chez Plaute ni chez Rotrou.

135. (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722

Si j’osais indiquer ce que je pense qu’a pu être un moment M. de Pourceaugnac, voici ce que je dirais, en suivant l’ordre des scènes sur l’édition Ch. […] Ces mots semblent ajoutés ; l’époque de la représentation de Pourceaugnac ne fait nullement penser au divertissement populaire du carnaval, amenant des masques au travers de l’intrigue, chose usuelle à la Cour, mais qui eût semblé mal justifiée à la Comédie, sans quelques mots de préparation. […] L’offre que Molière fit au roi de lui jouer cette petite comédie autorise à penser qu’elle avait quelque mérite; la musique qui y a été adaptée remonterait au temps des premières relations de Molière et de Lully, antérieurement à l’Amour médecin et aux Fâcheux Nous ne voyons, dans l’œuvre de Molière, que cette pièce du Maître d’école, à laquelle puisse se rattacher l’intermède de Barbacola, dont voici la rédaction : Un maître d’école italien, nommé Barbacola, avec quatre enfants écoliers.

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