A la bonne heure ; chacun a sa façon de penser. […] Tu n’y penses pas : l’habit avec lequel je suis venu est cousu de fil ; mais pour moi je ne sais ce que c’est que de coudre des tromperies. […] Nous devons, je pense, trouver beaucoup d’art dans ce dernier couplet, dont l’idée n’est ni chez Plaute ni chez Rotrou.
Si j’osais indiquer ce que je pense qu’a pu être un moment M. de Pourceaugnac, voici ce que je dirais, en suivant l’ordre des scènes sur l’édition Ch. […] Ces mots semblent ajoutés ; l’époque de la représentation de Pourceaugnac ne fait nullement penser au divertissement populaire du carnaval, amenant des masques au travers de l’intrigue, chose usuelle à la Cour, mais qui eût semblé mal justifiée à la Comédie, sans quelques mots de préparation. […] L’offre que Molière fit au roi de lui jouer cette petite comédie autorise à penser qu’elle avait quelque mérite; la musique qui y a été adaptée remonterait au temps des premières relations de Molière et de Lully, antérieurement à l’Amour médecin et aux Fâcheux Nous ne voyons, dans l’œuvre de Molière, que cette pièce du Maître d’école, à laquelle puisse se rattacher l’intermède de Barbacola, dont voici la rédaction : Un maître d’école italien, nommé Barbacola, avec quatre enfants écoliers.