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91. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165

Les escapades des maris sont traitées comme elles le méritent dans le tableau comique des amours du Bourgeois gentilhomme pour sa belle marquise ; et le Tartuffe restera toujours la peinture la plus crûment vraie, c’est-à-dire la condamnation la plus absolue de l’adultère.

92. (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567

On conçoit ce qu’il y a de grandeur dans la peinture de cette échelle ascendante des vices, de ces degrés qu’on monte fatalement et au bout desquels est l’abîme.

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