Les escapades des maris sont traitées comme elles le méritent dans le tableau comique des amours du Bourgeois gentilhomme pour sa belle marquise ; et le Tartuffe restera toujours la peinture la plus crûment vraie, c’est-à-dire la condamnation la plus absolue de l’adultère.
On conçoit ce qu’il y a de grandeur dans la peinture de cette échelle ascendante des vices, de ces degrés qu’on monte fatalement et au bout desquels est l’abîme.