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134. (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35

Qu’as-tu fait à ta pauvre mère ? […] Je suis créature et pauvre facture, De    simple    stature,    humble    viateur    ; Ce serait laidure et chose trop dure Laver en eau pure mon haut créateur. » Vous voyez, Messieurs, même en ces passages choisis, percer cette infirmité de langage, que des retouches successives n’ont pu faire disparaître, et qui est le côté faible de ces anciennes oeuvres dramatiques.

135. (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492

Elle pourrait, comme un autre, flatter sa maîtresse, sous qui tout tremble au logis ; mais, par droiture d’esprit, comme par générosité de cœur, elle est du parti de ce pauvre mari, qui a toujours raison et à qui l’on donne toujours tort. […] mon cher patron, je vous le dis encore, Vous ne serez jamais qu’une pauvre pécore. […] Vous ne serez jamais qu’une pauvre pécore, est un vers grossier, plat et sans esprit, au lieu que la comparaison de Lélie avec un maître d’armes, sans être d’un goût de plaisanterie bien raffiné, est du moins gaie et dans le ton du reste de l’ouvrage.

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