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106. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [56, p. 89-93] »

Observant continuellement la nature, et rapportant à son art toutes les attitudes et toutes les expressions qui caractérisent les passions, il copiait le geste, le ton, le langage de tous les sentiments dont l’homme est susceptible, dans toutes les conditions et dans tous les états.

107. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [74, p. 108-114] »

[74, p. 108-114] 1705, Grimarest, p. 126-130 Un jeune homme de vingt-deux ans, d’une belle figure et bien fait, vint un jour trouver Molière ; après les compliments ordinaires, il lui découvrit qu’étant né avec toutes les dispositions nécessaires pour le théâtre, il n’avait point d’autre passion plus forte que de s’y attacher ; qu’il venait le prier de lui en procurer les moyens, et lui faire connaître que ce qu’il avançait était véritable.

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