Clairville furieux réfléchit sur la dureté des derniers mots de Rosalie : il consulte d’Orval sur le parti qu’il doit prendre.
La cinquième du premier acte, où Sbrigani prend le parti de Pourceaugnac ; la suivante, ou Éraste lui persuade qu’il connaît Limoges et toute sa famille ; la onzième, où Pourceaugnac est entre les deux médecins et ne sait ce qu’ils lui veulent : voilà, ce me semble, les seules beautés de cette pièce.