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172. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353

Le reste de l’acte se passe tantôt chez Stukéli où ce scélérat fait l’éloge de la fourberie en exhortant Bates à ne pas ménager Béverley ; & tantôt chez Vilson où Béverley, désespéré d’avoir perdu sur sa parole, se détermine par les conseils de Stukéli à vendre l’héritage qui doit lui revenir de son oncle : Stukéli lui dit que Bates le lui achetera.

173. (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567

Enfin, le progrès des idées et le respect dû aux chefs-d’œuvre aidant, elle vient de reparaître sur le théâtre, cette courte et belle scène que n’aurait pas désavouée Shakespeare ; nous l’avons vue enfin et entendue tout entière, telle qu’elle a jailli de l’âme et du cerveau de son auteur, telle que bien peu même des contemporains de Molière ont pu l’entendre et l’admirer ; et, pour comble de bonheur, elle a été interprétée d’une manière sublime par Ligier, qui, avec quatre ou cinq paroles sorties du cœur, sans cris, sans gestes, a ému profondément toute la salle.

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