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13. (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38

Je ne connais pas au monde de titre plus attrayant et je vois d’ici mademoiselle Duparc, mademoiselle Béjart, mademoiselle Debrie, mademoiselle Ducroisy et mademoiselle Molière elle-même, cette, jolie perruche dont le bec fit saigner tant de fois le cœur de son mari, cabrioler de joie autour d’une pareille aubaine. […] Vous pensez qu’avec un pareil métier, sa gaîté ne peut pas aller jusqu’à la folie. […] Je vous l’ai dit, c’est parce qu’elle est la fille légitime des maîtres ; — parce que nous n’avons rien de pareil, — parce que c’est brillant jusqu’à éblouir, éloquent, curieux, terrible, entraînant et charmant ! […] Mais, chez nous, il n’y a jamais rien eu de pareil. […] pour l’autre mot, le mot de Molière, c’est tout pareil.

14. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122

Que de grandeur d’ame, que de générosité dans un pareil aveu ! […] Il n’est pas possible de dévoiler au lecteur toute la finesse de cet art inconcevable que le pere de la comédie employoit en pareille occasion ; on ne peut que mettre sous les yeux les scenes où il l’a fait avec le plus d’adresse. […] Une pareille situation ne peut que jetter des idées tristes dans l’ame du spectateur. […] On peut vous mener loin avec de pareils gages.

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