Je ne connais pas au monde de titre plus attrayant et je vois d’ici mademoiselle Duparc, mademoiselle Béjart, mademoiselle Debrie, mademoiselle Ducroisy et mademoiselle Molière elle-même, cette, jolie perruche dont le bec fit saigner tant de fois le cœur de son mari, cabrioler de joie autour d’une pareille aubaine. […] Vous pensez qu’avec un pareil métier, sa gaîté ne peut pas aller jusqu’à la folie. […] Je vous l’ai dit, c’est parce qu’elle est la fille légitime des maîtres ; — parce que nous n’avons rien de pareil, — parce que c’est brillant jusqu’à éblouir, éloquent, curieux, terrible, entraînant et charmant ! […] Mais, chez nous, il n’y a jamais rien eu de pareil. […] pour l’autre mot, le mot de Molière, c’est tout pareil.
Que de grandeur d’ame, que de générosité dans un pareil aveu ! […] Il n’est pas possible de dévoiler au lecteur toute la finesse de cet art inconcevable que le pere de la comédie employoit en pareille occasion ; on ne peut que mettre sous les yeux les scenes où il l’a fait avec le plus d’adresse. […] Une pareille situation ne peut que jetter des idées tristes dans l’ame du spectateur. […] On peut vous mener loin avec de pareils gages.