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117. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

C’est une pure merveille et l’on comprend assez qu’une pareille pièce n’ait eu aucun succès dans sa nouveauté. […] C’en est trop à la fois que ce double martyre ; Et ce qu’il me faut taire, et ce qu’il me faut dire Exerce sur mon cœur pareille cruauté. […] Pour qu’il fasse de pareilles fautes contre l’art, il faut que Molière ait pour les servantes une dévotion toute particulière qui aurait dû lui faire trouver grâce auprès de Jean-Jacques Rousseau. […] Dès 1659, Thomas Corneille écrit à l’abbé de Pure avec une satisfaction visible que les Comédiens de Monsieur ont mal joué une certaine tragédie de M. de la Clairière et qu’il ne les croit capables que de jouer de pareilles bagatelles. […] Est-ce qu’on ennuie son mari dé pareilles niaiseries ?

118. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398

Mais il leur sied mal de faire un pareil reproche au plus grand de nos Auteurs, tandis que les leurs ne sont jamais intéressants qu’aux dépens des regles de la vraisemblance, en entassant avec confusion vingt événements, en confondant le temps & les lieux, & sur-tout en mêlant le grotesque au terrible.

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