La comédie de l’art, all’ improviso, paraît avoir toujours existé en Italie ; on la rattache aux Atellanes ; on en retrouve les principaux types dans les fresques de Pompéi et d’Herculanum. […] Il nous paraît bien représenter le type dans son caractère général : il a dans son vêtement l’ampleur que Pierrot a conservée jusqu’à nos jours ; il porte le sabre de bois qui resta propre à Arlequin ; il est coiffé du chapeau souple, susceptible de revêtir les formes les plus étranges, rendu célèbre notamment par le fameux pitre Tabarin.
Un personnage qui paraît avoir pris pied dans la comédie régulière avant de passer dans la comédie de l’art, c’est le Parasite. […] Elle me paraît toute pleine de Lucifers.