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91. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102

Toutefois, arrivé chez lui, son épouse se disculpa avec de si bonnes raisons, qu’elle réussit à apaiser sa colère. » La pièce s’ouvre dans ces circonstances.

92. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Godard était un drapeau pour les uns, une torche pour les autres : pour les plus sages, il n’était qu’un brave homme, fort discret, dont la baraque s’ouvrait à tous les amours défendus. […] Il retrouvait en même temps, sa femme, ses enfants, sa bague, son repos ; aussi bien il ouvrit ses bras à sa femme, et depuis ce jour il l’entoura d’amour et de respects. […] Pour tout dire il ouvrait brillamment cette route des hasards et des licences au bout de laquelle était le précipice où devait tomber Piron, où J. […] À la fin, et après de longues heures d’attente, cette porte s’ouvrit lentement. […] Moncade ne daigne pas même ouvrir ces tendres billets ; seulement il envoie à Cidalise la montre d’Araminte, Araminte aura l’agrafe de Cidalise.

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