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95. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

C’est sans doute sa propre opinion qu’il exprime, lorsqu’il met dans la bouche de Dorante1 ce parallèle de la tragédie et de la comédie : « Je trouve qu’il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins et dire des injures aux dieux, que d’entrer comme il faut dans les ridicules des hommes, et de rendre agréablement sur le théâtre les défauts de tout le monde.

96. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

  Un mal d’opinion ne touche que les sots,   Et je prendrais pour ma devise :   Moins d’honneur et plus de repos..

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