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83. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421

Oui, ma fille, oui, mon fils, je suis Dom Thomas d’Alburci, que le ciel garantit des ondes avec tout l’argent qu’il portoit, & qui, vous ayant tous cru morts durant plus de seize ans, se préparoit, après de longs voyages, à chercher dans l’hymen d’une douce & sage personne, la consolation de quelque nouvelle famille. […] Voilà une chose bien nouvelle & bien surprenante, que d’être appellé quand on se met à courir.

84. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338

À cette nouvelle, ceux qui ont prêté le million s’alarment, la frayeur les prend ; d’abord ils proposent de perdre le tiers de leur dû. […] La scène italienne se releva à Paris, en 1716, sous le Régent ; elle recommença alors une nouvelle et longue carrière.

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