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144. (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682

On l’a nommé le Térence de son siècle : ce seul mot renferme toutes les louanges qu’on lui peut donner.

145. (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181

Avec Diafoirus et fils, Argan qu’il nomme Orgon, Purgon qu’il transforme en Turbon (car son oreille néerlandaise n’avait retenu ni compris les noms propres), ce pauvre hère fabriqua la plus plate, la plus fade, la plus triste comédie du monde, preuve éclatante de ce que vaut le style, même au théâtre.

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