Clitandre et Henriette offrent à la fois l’exemple de l’union naturelle et de l’union raisonnable. […] C’est, on le répète, une leçon variée à l’infini et toujours la même ; c’est l’affirmation continuelle que le mariage ne peut être bon ni heureux s’il ne repose que sur une affection naturelle, un dévouement réciproque, et un profond sentiment du devoir.
Les beautés des portraits qu’il a faits sont si naturelles, qu’elles se font sentir aux personnes les plus grossieres ; & le talent qu’il avoit de plaisanter étoit renforcé de la moitié par celui qu’il avoit de contrefaire.