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126. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441

Il faut croire, pour l’honneur du poète, qu’il n’a pas couvé dix-neuf ans une vengeance si peu méritée, pour la faire éclater précisément dans l’année où mourut madame de La Sablière. […] Voici nos observations sur la première : En 1677, quand Phèdre a paru, il y avait trente-deux ans que la société de Rambouillet était dissoute par le mariage de Julie : il y en avait douze que la marquise n’existait plus ; huit que la duchesse de Montausier, dernier reste de la famille passait au lit une vie malade et sans espérance ; si, qu’elle était morte.

127. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Cette petite, dont aucune trace n’a été retrouvée à Paris, n’avait sans doute pas tardé à mourir dans un des voyages de la troupe en province. […] Elle n’eut que deux filles et mourut en donnant le jour à la seconde. […] Quand on n’aime pas sa maison, l’on n’a qu’une faible affection pour ses enfants ; s’ils meurent, on ne sait pas les pleurer. […] Anne d’Autriche ne mourut que le 20 janvier 1666. […] La maladie dont il meurt lentement est le thème des platitudes envenimées, qui débordent de ces cinq actes.

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