Sauzay nous raconte d’abord les origines du Sicilien ; viennent ensuite les renseignements et les détails rétrospectifs : théâtres, acteurs, costumes, décors, mise en scène, musiciens et musique, y compris celle de Lulli et, comme complément de la représentation, le compte-rendu des journaux du temps. […] Quel dommage que quelqu’un de nos petits-maîtres du commencement du siècle n’ait pas mis en musique cette agréable comédie de tuteur trompé qui devançait de cent ans Le Barbier de Séville !

Il est bon de mettre sous les yeux de mes juges la fin de la scene qui précede le tableau dont il est question. […] Outre le froid insupportable qu’il jette par là dans l’action, je crois voir le peintre d’un tableau informe obligé de mettre au bas de la toile le nom de toutes les choses qu’il a voulu peindre.