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199. (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -

  La littérature italienne n’est pas sans doute la seule littérature moderne que Molière ait mise à contribution. […] Désireux de donner tous les renseignements utiles, de mettre dans tout leur jour les monuments immortels que je reproduisais, je ne pouvais pourtant dépasser le but ; il ne m’était pas permis de les perdre de vue, de m’éloigner trop ; je devais me borner à en explorer, pour ainsi dire, attentivement les alentours. […] Les comédiens se mirent à le plaisanter tout particulièrement, et lui, il redoublait de lardons et de gausseries.

200. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108

Des femmes de la cour se mirent de la partie. […] La cour, de son côté, mit sous les armes les femmes dont elle disposait. […] Durant la guerre de la Fronde, Mazarin mit en jeu la séduction de celles de ses nièces qui étaient en âge de fixer les regards.

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