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164. (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13

Si quelque bon esprit, gai, naturel et rond Ose vous faire rire, on crie au mauvais ton ; Et ses discours trop vrais excitent le scandale.

165. (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464

« Je m’y suis résolu d’autant plus volontiers, écrivait-il à Molière, que j’ai vu que cela ne vous pouvait apporter aucun dommage, non plus qu’à votre troupe, puisque votre pièce a été jouée près de cinquante fois. »On ne voit pas que Molière ait trouvé le raisonnement mauvais, et se soit plaint de son officieux éditeur. […] Après avoir rapporté ce fait, j’ajoutais : « On ne voit pas que Molière ait trouvé le raisonnement mauvais, et se soit plaint de son officieux éditeur. » J’étais dans l’erreur.

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