Il suffit de se rappeler ce que dit Brantôme du goût de Catherine de Médicis pour les spectacles de la commedia dell’arte, pour qu’on ne doute pas que l’apparition des artistes italiens parmi nous dût suivre de près le mariage de cette princesse et devenir, dès lors, de plus en plus fréquente. […] Enfin Chrisoforo, malgré toutes ses fourberies, triomphe, et lui aussi se marie avec une suivante de Lucida ; Lucida devient la femme légitime du vieux Polidoro, ce qui ne fait pas moins de quatre mariages au dénouement.
Le Mariage forcé, Comédie en Prose, un Acte, 1664. […] De ce mariage nâquit une fille unique, qui s’est distinguée par son merite & par la beauté & l’agrément de son esprit ; mais qui ne jouit pas d’une fortune opulente.