/ 174
93. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118

que barbotez-vous pour votre malheur ?

94. (1802) Études sur Molière pp. -355

Si tout ne prouve pas qu’il s’est altéré sur la route, que nous avons enfin une bonne et mauvaise tradition, et que la dernière est par malheur la plus accréditée ? […] J’eus le malheur de ne point partager son enthousiasme ; est-ce ma faute ? […] Quel malheur pour ces messieurs, que sa majesté n’eût pas dit son sentiment la première fois ! […] Je le crois bien ; dès qu’un acteur, une actrice sont applaudis dans un rôle, ils disent fièrement : ce rôle m’appartient : et malheur à quiconque voudrait toucher à cette prétendue propriété ! […] Malheur au comédien si, dans toutes ses expressions, dans tous ses mouvements, dans tous ses gestes, il ne laisse échapper le sentiment avec autant de facilité qu’il s’échappait du cœur et de la plume de notre philosophe amoureux !

/ 174