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4. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208

Don Juan se sauve l’épée à la main ; le vieux commandeur le poursuit, flamberge au vent. […] Un des valets s’en aperçoit et l’enlève de ses mains. […] Il se lave les mains et les essuie à la nappe. […] Arlequin montre deux fois ses mains pour montrer quelle a vingt ans. […] Arlequin, épouvanté, fait la culbute en arrière, le verre plein à la main.

5. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322

Silvio se sauve l’épée à la main ; Pantalon le suit, tombe sur Brighella, éteint sa lumiere, appelle Arlequin, qui sort en chemise avec une chandelle à la main. […] Çà, la main l’un & l’autre. […] Valere, donnant la main. […] A quoi bon ma main ? […] A quoi bon ma main ?

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