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17. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Il amène donc Valère par la main devant Isabelle. […] Un dernier incident la fait retomber dans les mains d’Arnolphe. […] Mais, en revanche, dans l’autre camp on ne se défend pas de main molle. […] Nenni, madame, il est en de trop belles mains. […] On ne pousse pas plus de cris quand on a pris le voleur la main dans le sac.

18. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135

Je repris ma place, et tout en préludant d’une main indécise : — Mon Dieu ! […] Alors on lui répond qu’elle a seize ans à peine, que ce limpide regard n’a jamais été attristé de l’éclat du lustre, et le parterre bat des mains ! […] Mais, au contraire, vous battez des mains à la victime, vous la couronnez de fleurs, vous la parez de votre mieux. […] L’Agnès en question était maigre et pâle ; elle avait les coudes rouges et les mains comme les coudes, la démarche embarrassée, et la voix très voilée. […] Plus vous avez la main légère et plus le public vous en saura bon gré.

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