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158. (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47

Il l’accueille avec ce vers si délicieusement comique : La besogne à la main, c’est un bon témoignage. […] Il avait une enfant entre les mains ; il l’a élevée dans une ignorance absurde, dans une innocence coupable ; il lui a refusé l’éducation qui est nécessaire à une femme, qu’elle était en droit de recevoir et qu’il avait le devoir de lui donner ; qu’il ne s’en prenne qu’à lui si Agnès s’est trouvée sans résistance, sans un appui intérieur, sans une force morale et intellectuelle pour se défendre de la première attaque, du premier jeune homme qui a passé sous ses yeux. […] Que celui qui ne les a jamais confondues lève la main !

159. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132

Il veut reprendre Pamphila, & sort de chez Thaïs pour aller chercher main forte. […] Frontin, présentant les deux mains. […]   Il y a, sans contredit, du mérite dans le Muet ; mais nous nous garderons bien de le citer comme un modele d’imitation ; les divers matériaux dont la piece est composée n’ont pas perdu l’air de leur pays natal en passant par les mains des Auteurs François.

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