Mais il me semble, Agnès, si ma mémoire est bonne, Que j’avois défendu que vous vissiez personne. […] « Je ne suis pas un homme à vouloir rien pour rien : « Je sais, quand on me sert, en garder la mémoire.
monsieur Turbon, si j’ai bonne mémoire, je ne pris que dix médecines dans tout le mois de décembre ; et vous m’en comptez douze pour tout le mois de janvier que nous achevons ; à ce compte, je suis plus malade ce mois-ci que l’autre. […] On pourrait douter qu’ils eussent eu la hardiesse d’en agir ainsi à l’égard d’une pièce qui n’avait que onze ans de date, et qui pouvait être restée dans la mémoire de beaucoup de personnes, telle que l’avait laissée Molière. […] Ayant imprimé deux actes, moins deux scènes, tels qu’ils sont dans l’édition de 1682, leur aurait-il été si difficile de se procurer le véritable texte du reste, ne fut-ce qu’à l’aide de ces mémoires heureuses comme celle du sieur de Neufvillenaine, qui apprit par cœur Le Cocu imaginaire, et le fit imprimer ?