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151. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120

Cette raison, qui explique en partie pourquoi le théâtre féminin de Molière, est généralement moral, peut amoindrir un peu son mérite au point de vue de l’intention ; mais il ne reste pas moins grand, quand on songe à tant d’excellents préceptes et de leçons délicates sur des sujets qu’il est peut-être impossible de traiter parfaitement dans des livres ou dans des sermons.

152. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548

« Des quinze mille francs qu’on demande, le prêteur ne pourra compter en argent que douze mille livres ; & pour les mille écus restants, il faudra que l’emprunteur prenne les hardes, nippes, bijoux dont s’ensuit le mémoire, & que ledit prêteur a mis, de bonne foi, au plus modique prix qu’il lui a été possible ». […] & n’est-il pas content du furieux intérêt qu’il exige, sans vouloir encore m’obliger à prendre pour trois mille livres les vieux rogatons qu’il ramasse ?

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