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15. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445

Ce même Hector qui a fait un mémoire, qui a fort bien lu une écriture à la main, ne sait plus lire un livre imprimé : il le dit lui-même ; écoutons-le : Valere, à Hector. […] Va me chercher un livre. […] Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? […] Si Regnard a cru qu’il étoit vraisemblable de pouvoir écrire & lire des mémoires sans savoir lire des livres imprimés, pense-t-il que le spectateur soit assez idiot pour ignorer que l’impression des almanachs est la même que celle de tous les livres, & pour oublier qu’il a entendu ce même Hector lire son mémoire ?

16. (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89

Cette pension, qui était de 7,000 livres, fut portée à 12,000 en 1682 seulement. […] Sentences sur quelques livres d’auteurs qu’il a lus, p. 69. […] Six ans au contrôle de la recette, à 3 livres par jour. […] On lui donna sa retraite à Pâques 1679 : on ne voulut lui accorder que 750 livres de pension. […] Il fallut lui payer 1,000 livres jusqu’à sa mort arrivée le 6 juin 1693.

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