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4. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337

Une lettre que madame Scarron écrit à son frère, de Tournay, le 16 juin 1673 (elle était alors en chemin avec le duc du Maine pour aller consulter un empirique hollandais sur l’état de cet enfant), montre qu’à cette époque elle était brouillée avec madame de Montespan. […] Il est constant, par une lettre de madame de Sévigné à sa fille, du 7 août 1675, qu’à peu près à la même époque de l’année 1673, madame de Montespan et madame Scarron étaient en guerre ouverte. […] Leur amitié est attestée par une lettre de madame Scarron à madame de Saint-Géran, et par celles que nous avons déjà vues de madame de Sévigné à sa fille. […] Plus tard en 1680, des lettres patentes ordonnèrent qu’ils porteraient le nom de Bourbon. […] (Lettres de Maint., t. 

5. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489

C’est une lettre. […] Il va remettre les deux lettres, &, graces à son demi-tour & à sa balourdise, il fait une méprise qui forme l’intrigue de la piece. […] Vous avez écrit, on a reçu votre lettre. […] Toute personne qui aura reçu une lettre d’une autre, ne lui dira point, parlant à elle-même, vous avez écrit, on a reçu votre lettre. Elle dira naturellement, vous m’avez écrit, j’ai reçu votre lettre.

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