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124. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Elle est de la famille de Mme Sarah Bernhardt, qui a bien voulu lui donner quelques leçons. […] … un homme… un homme… enfin… Qui suit bien ses leçons goûte une paix profonde, Et comme du fumier regarde tout le monde. […] Et il reprend alors, comme si un nouvel ordre d’idées commençait : Qui suit bien ses leçons goûte une paix profonde, etc. […] Orgon cherche une phrase assez forte pour exprimer son enthousiasme ; il va toujours : c’est un homme… un homme… un homme, enfin… Cet enfin tient la place d’un mot qu’il a sur le bout de la langue, mais qu’il ne rencontre point ; il désespère de le trouver, et changeant brusquement l’ordre de sa phrase : Qui suit bien ses leçons goûte une paix profonde. […] de même, Tartuffe est un homme tel que : « Qui suit bien ses leçons goûte une paix profonde. » Remarquez que si vous n’adoptez pas cette interprétation, la phrase étant terminée au mot enfin, les vers qu’ajoute Orgon n’ont plus leur raison d’être.

125. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341

la bonne leçon !

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