C’est enfin dans ce conte que Moliere a puisé la morale qui naît tout naturellement du sujet, & qui donne une si belle leçon à l’humanité.
Mais, à ce compte, Molière est donc un moraliste ; il enseigne donc les règles de la vertu ; il met donc en pratique le précepte d’Horace traduit par Boileau : Qu’en savantes leçons votre muse fertile Partout joigne au plaisant le solide et l’utile 220.