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109. (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293

Il y a pourtant clans ce dernier un trait d’humeur et de caractère que Molière a jugé assez bon pour se l’approprier. […] Elle répond : Non : vous pouvez juger, s’il en eût demandé, Que, pour le secourir, j’aurais tout accordé. […] Cette question nous ramène à la fameuse scène du sonnet : jugeons la conduite du Misanthrope sur les préceptes du bon sens. […] Je ne sais pourquoi Despréaux, si l’on en croit le Bolœana, jugeait si sévèrement Amphitryon, et semblait même préférer celui de Plaute. […] Il faut entendre ici Scarron: on jugera mieux l’usage que Molière a fait de ce morceau : « Il le releva de terre où on l’avait jeté, l’embrassa et le baisa, tout plein qu’il était de sang et de boue, et fit une réprimande au peuple.

110. (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125

Il prétend au contraire que l’on n’a bien reconnu son mérite qu’après qu’il eut joué le dernier rôle de sa vie, et que l’on a beaucoup mieux jugé du prix de ses pièces en son absence, que lorsqu’il était présent.

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