Mais c’est à votre joie un surcroît sans égal, D’en avoir pour témoins les yeux de ce rival : Et mes prétentions, hautement étouffées, A vos vœux triomphants sont d’illustres trophées. […] S’il m’eût été permis de la bien souffleter, Quelle eût été ma joie ! […] Quelle eût été ma joie ! […] Quelle eût été ma joie !
Et c’était des trépignements de joie ! […] où est le comédien qui renonce tout à fait à ses joies, à ses transes, à ses délires ? […] Quelle profusion presque insensée de joies, de paradoxes, de divertissements, de poésies de tout genre ! […] Il a ri d’un rire intrépide, il s’est abandonné sans réserve, à sa joie et le plus souvent cette joie est une gaîté convulsive. […] Une fois bénis, les voilà mariés, et vive la joie !