Evandra se livre à la joie de manger des racines & de boire de l’eau avec son cher Timon.
Ainsi s’établit, entre le poète et le jeune roi, on dirait aujourd’hui « une entente cordiale », et sitôt que le poète comprit qu’il était nécessaire à la joie et peut-être au gouvernement du prince, il se sentit délivré de toute gêne.